D'abord le sommet (2115 m) tel que je l'ai vu pour moi tout seul vendredi, depuis la crête du clot des martres.
Samedi matin (matinée déjà bien entamée d'ailleurs) : regroupement pour voir arriver la meute de nuages.
Un peu plus haut, une couche de plus. Wax a créé un cercle de réflexion sur la lutte contre la pluie.
Le brouillard nous englobe et donne un air fantasmagorique à notre marche dispersée.
Nous sommes à environ 2000 m, proches du sommet.
Là, c'est juste pour dire que nous avons traversé un névé.
Nous redescendons, au prix de quelques glissades et quelques pieds dans l'eau.
Guidés par Techlab, qui a trouvé le moyen de retrouver une petite lampe perdue dans l'herbe il y a huit mois (et qui s'allume encore !), nous nous installons sur un beau plat. Le torrent étant carrément boueux, nous ne l'avons pas touché.
Entre deux averses, le feu est vite allumé par les spécialistes de la discipline, tel Guybrush.
C'est vrai qu'à ce moment là, on pense plus à se réchauffer qu'à papoter matos.
Dans ce crépuscule qui a suivi un après-midi sans ombre, nous attendons autour du foyer l'arrivée des côtelettes en partageant gaiement (malgré les apparences) ce que nous avons apporté.
Dimanche matin, préparatifs de départ. Tout le monde est bien frais (dans tous les sens du terme).
Mention particulière à Pataras (
Nous attendons que Domweb retrouve un réchaud qu'il n'a en fait jamais perdu
Une dernière virée à travers les champs de Myosotis alpestres.
Et pour finir, puisque vous avez été gentils, je vous offre une espèce aussi rare et belle qu'un bon Mul : une tulipe australe.